Elle est placée sous la tutelle administrative du ministère du transport et de la logistique. Elle est constituée par le rachat de 3 concession : Compagnie des chemin de fer du Maroc, Compagnie du chemin de fer du Maroc Oriental et Compagnie franco-espagnole de Tanger-Fès.
Elle est aujourd'hui membre de l'Union International des Chemin de fer.
Il est prévu que pour l'ouverture de la concurrence sur le marché ferroviaire marocain pour la concurrence, L'ONCF passe sous le statut de Société Anonyme. Ainsi la future SMCF (Société Marocaine de Chemin de Fer) aura un capital détenu entièrement par l'Etat.
Les Directions Interdépartementales des Routes nationales (DIR) sont, en France, des services déconcentrés du ministère de la Transition écologique et solidaire, créés par le décret 2006-304 du 16 mars 2006. Elles ont été créées dans la continuité de l'application de la loi « Libertés et responsabilités locales » du 13 août 2004, qui a transféré aux départements une partie des routes nationales existantes, pour assurer l'entretien, l'exploitation et la gestion des routes nationales restantes.
Jean, Marie KERNEVEZ
Jean Kernévez, né le 23 janvier 1899 à Morlaix (Finistère) et décédé le 7 octobre 1975 à Boulogne-Billancourt, est un maître machiniste et résistant français.
Jean Marie Kernévez naît au lieu-dit Petit Launay à Morlaix, fils de François-Marie KERNEVEZ, journalier et de Marie-Perrine (née CLECH), ménagère.
Le 19 novembre 1921, il se marie avec Germaine Gabrielle CAUVAIN à Boulogne (Seine). Le 25 mai 1929, Germaine donne naissance à Jeanne, leur fille unique.
Dès l’âge de 14 ans il commence à travailler en tant qu’apprentis boucher dans plusieurs établissements parisiens. Le 18 avril 1918 il est appelé en service armé et s’inscrit au registre matricule du Bureau de recrutement de la subdivision de Brest, classe 1919, sous le numéro 91, en tant que conducteur 2ème classe.
Il appartient à la classe de mobilisation 1919 comme appelé service armé affecté au 161ème Régiment d’Infanterie sous le numéro de matricule 19316. Le 2 décembre 1918 il est réaffecté au 155ème régiment d’infanterie et le 15 novembre 1920 au 124ème régiment d’infanterie sous le matricule 3701, régiment stationné à Brest au centre de mobilisation du train n°21.
Il est renvoyé dans ses foyers le 23 mars 1921 et passe dans la réserve active de l’armée le 15 avril 1921. Cependant en vertu de l’article 33 de la loi du 21 mars 1905, le rappel des hommes effectuant leur première année de service dans la réserve est autorisé «dans les cas où les circonstances paraîtraient l'exiger», il est ainsi rappelé à l’activité le 11 mai 1921 et renvoyé dans ses foyers le 27 juin de la même année.
"Petit-Jean"
L’armée lui ayant apporté des connaissances en conduite d’omnibus, Jean Kernévez postule pour entrer à la Société des transports en commun de la région parisienne (STCRP) dès octobre 1921. Il est accepté en tant que stagiaire receveur le 29 novembre 1922 et est titularisé le 1er décembre 1923 en tant que receveur au dépôt d’omnibus automobile de Point-du-Jour (Paris 16ème), il prend le numéro de matricule 51883.
A cette époque, les omnibus sont contrôlés par un duo d’agents. Un machiniste, conduisant, et un receveur, qui vérifie la validation des titres de transport et peut également en vendre.
Le 3 mars 1924 il est nommé machiniste d’omnibus automobile au dépôt de Clichy (Hauts-de-Seine), puis au dépôt Mozart (Paris 20ème) le 13 octobre 1930 et enfin au dépôt de Point-du-Jour le 1er octobre 1934. A cette époque ses collègues lui donnent le surnom de « Petit-Jean », surnom peut-être induit par sa stature (environs 1,60m).
Il est rappelé sous les drapeaux pour tension politique le 25 septembre 1938 et renvoyé dans ses foyers le 6 octobre de la même année.
Il est mobilisé le 24 août 1939 et est démobilisé le 1er août 1941. Après son retour de vie militaire, il reprend le travail le 4 août 1941 à la même affectation qu’il avait quitté en 1939.
Le 1er janvier 1943 il est accepté à l’examen de Machiniste principal. Par arrêté du 5 septembre &945, il reçoit la médaille d’honneur des Chemins de fer, grade argent, récompensant ses 25 ans de service. Le 1er janvier 1948, il passe machiniste 1ère catégorie et le même jour est nommé Maître Machiniste puis le 1er juin 1950 il réussit l’examen de Maître receveur.
En 1952, il demande à prendre sa retraite, demande acceptée le 1er mai 1952.
Le 21 janvier 1954 il est proposé pour recevoir la médaille vermeille d’honneur des Chemins de fer.
« Ker-Yves »
Lors de l’entrée en guerre de la France le 3 septembre 1939, Jean Kernévez est déjà mobilisé depuis le 24 août. Il est incorporé au 128ème groupe de Transport de personnel – 24ème train automobile de la 673ème compagnie d’entretien. Il part en campagne le 3 septembre 1939. Il entre le 11 février 1940 à l’hôpital d’évacuation (HOE) de Rethel (Ardennes) et en ressort le 22 du même mois avec 10 jours de convalescence. Selon une attestation de M. Yves DUROS, Capitaine FFI et fondateur du groupe de résistance « Yves », Jean Kernévez rentre de captivité le 1er aout 1941. A ce jour, aucune source n’indique la durée exacte ni le lieu où il fut retenu.
Dès le début 1942, il prend des contacts avec des membres de la CGT clandestine dans le but de former des cadres à ce que l’armée de l’intérieure peut attendre d’eux à son dépôt d’autobus situé au 226 avenue de Versailles (Paris 16ème). En juillet 1942 il rencontre Yves Duros qui appartenait déjà à un groupe affilié à l’OCM. Il se verse à ce groupe, adhère à l’Organisation civile et militaire (OCM) et au Service de renseignements (SR).
Grâce à plusieurs autres recrutements le groupe « Yves »se crée sur la base corporative au dépôt d’autobus de Point du jour situé au 226 avenue de Versailles (Paris 16ème). Le groupe prend le nom tiré du prénom de son fondateur et responsable militaire, Yves Duros. Jean reste responsable syndical et à la même époque il prend l’alias de résistant « Ker-Yves ».
Fin 1943 et début 1944, après quelques pressions, lui et Yves Duros sont nommés conducteurs d’autobus. Ils seront chargés de transporter les ouvriers sur les terrains d’aviation. Ils sont ainsi en position de fournir des renseignements concernant certains terrains, comme le terrain Morane où s’effectuait la construction de grands hangars (informations ayant permis le bombardement de ces hangars dans les 48h).
Le 24 juin 1944, la ville de Versailles est bombardée par les forces anglo-américaines. Les gares de chantiers sont également bombardées. Jean Kernévez échappe à une bombe tombée sur l’avant de l’autobus qu’il conduisait. Il ne doit sa vie qu’au fait qu’il se trouvait sur la plateforme arrière du bus et malgré sa commotion, il parvient à emmener son collègue touché par les débris de la bombe à l’hôpital le plus proche. Par la suite il contribue à l’évacuation des civils grâce aux bus de la Société des transports en commun de la région parisienne (STCRP). Son courage ce jour-là lui vaut une prime spéciale allouée par la STCRP.
Le 16 août 1944, il institue une grève insurrectionnelle (du fait de sa position de délégué syndical CGT) qui dure 3 jours durant lesquels le matériel fixe est préservé mais le matériel roulant est mis en panne pour éviter que l’armée allemande s’en serve. Le 18 août 1944, alors que plusieurs villes françaises sont libérées de l’occupation, Le Comité parisien de Libération publie des textes appelants à l’insurrection. Les autorités allemandes essayent de sortir des autobus, ils sont mis en échec.
Le 19 août, une lutte pour la libération s’engage. Le Syndicat laisse la place au groupement FFI « Yves » qui fonctionne de manière militaire. Yves Duros, responsable militaire, en prend le commandement et Jean Kernévez devient son second, responsable du ravitaillement. Jean soustrait une cuisine roulante à l’armée allemande à l’occasion d’une expédition. Il parvient également à se procurer du matériel de cuisine et de couchage pour les gardes de nuit. A cette date le Groupement « Yves » comprend 120 Hommes.
Le 20 août, il fait partie de la section attaquant les wagons de denrées stationnés Gare de Vaugirard (Paris 16ème), et ce malgré les sentinelles allemandes postées pour y monter la garde. Il réquisitionne les denrées avec des bons tamponnés par ses chefs responsables et par la Marie du 16ème arrondissement. L’autorité militaire FFI prend en charge les opérations à partir de cette date.
Durant la période entre le 16 et le 25 août, Jean participe au commandement du groupe et aux opérations visant à récupérer des voitures, de l’essence ou même de l’huile sous surveillance allemande. Il est également chargé du ravitaillement pour les commerçants du 16ème arrondissement et de Boulogne, et est chargé de transporter du blé de province à la Paris.
Après la guerre, Jean Kernévez reçoit deux insignes FFI (n°115,382 et 199,713) attestant de sa participation effective aux combats de la Libération de la part de la Commission militaire du Conseil national de la Résistance.
Fulgence Bienvenüe est né à Uzel, en Bretagne, le 27 janvier 1852. Après des études brillantes, il devient ingénieur des Ponts et Chaussées. Il travaille dans le domaine des chemins de fer avant de s'installer à Paris. On lui doit notamment l'aménagement du parc des Buttes-Chaumont et le tramway-funiculaire de Belleville, en service jusqu'en 1935.
Lorsque la ville de Paris lance un appel à projets pour le métro, elle adopte celui qu'il propose avec Edmond Huet. En 1898, Fulgence Bienvenüe est nommé chef du service technique du métropolitain. Il inaugure la première ligne de métro en 1900, année où il est également nommé officier de la Légion d'honneur.
Il dirige les travaux jusqu'en 1932, prenant sa retraite à l'âge de 80 ans. Il aura ainsi travaillé sur toutes les lignes, à l'exception de la ligne 14, mise en service en 1998. Sa tombe se trouve aujourd'hui au cimetière du Père Lachaise.
Dominique Flocard est né le 30 juin 1937 à Besançon (Doubs). Il est le fils Charles Flocard, employé à la SNCF et de Camille Flocard (née Perron) sans profession. Entre 1956 et 1965 il est étudiant à l'Ecole Breguet, école spécialisée dans l'électromécanique et l'électronique. Dans cette école il obtient notamment son baccalauréat technique avec la mention passable en 1959. Il quitte cet établissement après avoir suivi le cours spécial et les trois années de la section Ingénieur mais sans obtenir de diplôme. Il est décédé le 25 juillet 2019 à l'age de 82 ans à Brunoy (Essonne).
La Ferrocaril Metropolita de Barcelona est la compagnie ferroviaire publique chargée de la construction d'un réseau ferroviaire dans la ville de Barcelone. Elle a fusionné avec la Gran Metropolita de Barcelona. Aujourd'hui, elle exploite huit des douze services de métro de la ville, appartenant à la Generalitat de Catalunya. Initialement issue de capitaux privés, la compagnie est désormais contrôlée par le gouvernement de Barcelone.
Elle mène sous la direction de Michelle Perrot, avec le soutien de Françoise Cribier et de l’Équipe de géographie sociale du CNRS, une thèse intitulée « Vieillissement et société dans la France » qui est récompensée par le Prix de thèse du Comité d’histoire de la Sécurité sociale. Publié en 2005 sous le titre « Histoire de la vieillesse en France 1900-1960. Du vieillard au retraité », son travail rencontre, au-delà des historiens, l’intérêt d’un public plus large : anthropologues, sociologues, économistes, ainsi que médecins et professionnels œuvrant auprès des gens âgés.
1911: Création d’une formation d’apprentis sous contrat par la Compagnie générale des omnibus (CGO) dans l’atelier central situé rue Championnet (Paris, 18e arr.).
25 juillet 1919 : Loi Astier qui crée l’enseignement technique.
1921 : Décision de transformer le centre de formation en école.
1927 : Présentation des apprentis au certificat d’aptitudes professionnelles (CAP).
1932 : Instauration de cours d’éducation physique.
1943 : Création d’une annexe de l’école au dépôt du « Point-du-Jour » (Paris, 16e arr.)
21 avril 1944 : Destruction partielle de l’atelier de Championnet lors d’un bombardement aérien. L’école est transférée au dépôt du « Point-du-Jour ».
Fin 1944 : Transfert de l’école dans un ancien dépôt de tramways et d’autobus, le dépôt de l’avenue Mozart (Paris, 16e arr.).
1947 : Création d’un Conseil de l’école.
21 mars 1948 : Création de la RATP.
1957-1959 : Existence d’un stage de formation professionnelle d’ouvriers qualifiés au centre d’Ivry.
Dès 1960 : Apparition d’importantes mutations technologiques.
1965-1972 : Existence d’une école d’exploitation.
1968 : Création du CAP d’électromécanicien.
1970-1975 : Création du CAP d’installateur en télécommunications.
1971 : Lois Debré sur la formation continue.
1973 : L’école technique succède à l’école d’apprentissage.
1976 : Les premières filles ont accès à l’école. Elles représentent 3,2% des effectifs entre 1976 et 1985.
27 août 1981: Décision de transfert de l’école du dépôt avenue Mozart (Paris 16earr.) à Noisiel (77).
1984-1985 : Ouverture de l’établissement de Noisiel (77).
1985-1986 : Le brevet d’enseignement professionnel (BEP) d’électronique remplace les deux CAP d’électronicien et d’électromécanicien.
1987-1988 : Le BEP d’électrotechnique remplace le BEP d’électromécanicien et le BEP de maintenance des systèmes informatiques celui de mécanicien d’entretien.
Dès 1990 : Réforme « Blanc » : entrée de la RATP dans une période de modernisation.
1991 : Ouverture d’un bac professionnel (Bac Pro).
1995 : Dernière promotion préparant le BEP.
1998 : Dernière promotion préparant le Bac Pro.
Ex. Direction de la Stratégie, Innovation et Développement durable devenue Direction de la Stratégie et Ville Durable le 01/01/2023 dans le cadre de la nouvelle organisation mise en place dans l'entreprise afin de la préparer à l'ouverture de la concurrence. La Direction a pour objectif d’assurer l’alignement stratégique du Groupe et contribuer à la transformation et son développement responsable à horizon 2025 et au-delà, en mobilisant nos expertises et nos actifs au service de la mobilité urbaine et de la ville de demain. Le 01/10/2024 suite au départ en retraite de la Directrice de SVD et d'un resserrement des membres du COMEX (comité exécutif de la RATP), les unités de la Direction SVD sont d'une part rattachées à la Direction DPG renommée pour l'occasion Direction de la Stratégie, Finance et performance Durable (SFD) pour ce qui concerne les équipes de l'unité Stratégie et Responsabilité Sociétale d'Entreprise (RSE) et d'autre part la direction de l’Immobilier et la filiale RATP Solutions Ville relèvent du Secrétariat général du Groupe (SDG). La Direction SVD disparait.
La Direction Soutien à la Performance Opérationnelle (DSPO) est intégrée à la nouvelle Business Unit RATP Services Ferrés (BU RSF) créée le 01/01/2023 dans le cadre de la mise en place de la nouvelle organisation du Groupe RATP sous la Présidence de Jean Castex.
Le 01/01/2023 par Note générale n°6204 de la Présidence, la RATP fait évoluer son organisation du groupe RATP afin de préparer à l'ouverture à la concurrence de ses réseaux de transports publics en Ile-de-France et gagner en efficacité et performance pour être en capacité de faire face à de nouveaux défis de grande ampleur. La nouvelle organisation mise en place est la suivante :
Les activités opérationnelles exercées en monopole ou dans un cadre régulé sont assurées par des unités d'affaire dénommées BU (Business Unit) crées au sein de l'EPIC RATP, placé à la tête du Groupe RATP. Les autres activités opérationnelles étant exercées au sein de filiale du Groupe.
Quant aux fonctions centrales et aux activités "support" destinées à l'ensemble du Groupe, elles sont confiées à quatre types de structures :
- les directions "siège" dont fait partie la Direction Secrétariat et Direction générale du Groupe (SDG) et à laquelle sont rattachées :
- la Direction Juridique
- la Direction Influence, Territoires, International (ITI)
- le secrétariat du Conseil d'administration
- les délégations générales chargées de la mise en oeuvre des orientations de la Présidence :
- la délégation générale à l'éthique et à la Conformité (DGEC)
- la délégation Générale à l'Audit, aux Risques et au Contrôle interne (DGARC)
- la délégation Générale à la Sécurité Ferroviaire (DGSF)
- la Délégation à la Protection des Données (DPD)
- la Médiation du Groupe
- les fonctions centrales ou activités dites de "support" proposant de services destinés aux services de l'EPIC ou aux filiales, sont mutualisés et regroupées au sein de centre de services partagés (CSP), des centres d'expertise dont les activités spécialisées ne peuvent être standardisées.
Les activités relevant d'une compétence technologique ou d'ingénierie sont assurées par des prestataires industriels.
Le 01/10/2024 suite au départ de la Directrice de SVD (Stratégie et Ville Durable), un resserrement du COMEX est opéré et certaines fonctions sont mutualisées.
L'ex Direction de l'immobilier est alors rattachée aux directions siège de la Direction SDG (Secrétariat et Direction Générale du Groupe) ainsi que les filiales RATP Solutions Ville y compris ses filiales RATP Habitat et RATP Real Estate. Le directeur de le Business Unit RATP Sûreté est également rattaché à la secrétaire générale du groupe afin de répondre aux enjeux de sûreté que pose la gestion des sites industriels et tertiaires RATP et pour progresser collectivement dans la mise en oeuvre d'une politique de sûreté cohérente sur l'ensemble de nos sites. Le rattachement officiel de l'ensemble des entités de la Direction Immobilier et des unités de son Centre d'expertise Immobilier (excepté l'unité Responsabilité sociétale d'entreprise (RSE) qui est transférée dans la direction Stratégie Finances et performance Durable (SFD)) apparaît pour la première fois dans l'organigramme de la SDG de mai 2025. A la même période, au sein de la Direction SDG est transférée la Direction Sûreté Groupe qui regroupe la Mission Défense et la Mission Coordination de la prévention.
En août 2025, le Directeur Juridique prend la responsabilité de Délégué général à l'Audit, risques et contrôle interne et de la Mission Gouvernance.
La Direction Projets, Technique et Industriel (PTI) est créée le 01/01/2023 lors de la réorganisation la RATP. Rattachée à la Direction générale, elle regroupe les directions "Maîtrise d'ouvrage projets" (MOP) et du "Matériel roulant ferroviaire" (MRF) qui interviennent pour le Groupe RATP en tant que prestataires sur les activités projets et industrielles auprès des maîtres d'ouvrage, maîtres d'oeuvre, mais aussi des mainteneurs, clients et filiales.
Ancien Département SEM (Services Espaces Multimodaux) devenu le 01/01/2023 "Direction opérationnelle SEM" intégrée à la nouvelle Business Unit RATP Services Ferrés (BU RSF) créée le 01/01/2023 dans le cadre de la mise en place de la nouvelle organisation du Groupe RATP sous la Présidence de Jean Castex.
Ancien Département RER devenu le 01/01/2023 "Direction opérationnelle MTS" intégrée à la nouvelle Business Unit RATP Services Ferrés (BU RSF) créée le 01/01/2023 dans le cadre de la mise en place de la nouvelle organisation du Groupe RATP sous la Présidence de Jean Castex.
Ancien Département MTS (Métro transport Services) devenu le 01/01/2023 "Direction opérationnelle MTS" intégrée à la nouvelle Business Unit RATP Services Ferrés (BU RSF) créée le 01/01/2023 dans le cadre de la mise en place de la nouvelle organisation du Groupe RATP sous la Présidence de Jean Castex.
Ex. activités du département Commercial (CML) transférées d'une part dans la Direction marketing opérationnel (DM0), la Direction Marketing Commercial (DMC), et la Filiale Travel Retail lors de la mise en place de la nouvelle organisation de l'entreprise le 01/01/2023 pour se préparer à l'ouverture à la concurrence des transports publics en Ile de France. La nouvelle Direction DMO est rattachée à la Business Unit RATP Services Ferrés (BU RSF), la Direction Marketing et Commercial (DMC) à la Direction de la Communication Groupe, Engagement et Marque. Egalement est créée une nouvelle Filiale du Groupe RATP "Travel Retail" dédiée aux commerces et services dans les espaces de flux, les stations et gares.
Ex activités Marketing clients & Digital issues de l'ancien Département Commercial (CML) transférées dans la nouvelle Direction Marketing et Commercial (DMC) créée lors de la mise en place de la réorganisation du Groupe RATP du 01/01/2023. La Direction DMC est alors rattachée à la Direction de la Communication, de l'Engagement et de la Marque (COM). Elle est également en charge de la Direction de la Maintenance des Equipements et des Systèmes es Espaces (M2E) ainsi que de la filiale RATP Maintenance services.
Le 01/01/2023, par note générale de la Présidence, n°6204, le Département Juridique (JUR) devient la Direction Juridique (JUR). Rattachée à la Direction du Secrétariat et Direction générale (SDG), elle assure le pilotage juridique du Groupe. A ce titre, elle réalise des activités régaliennes transversales portées par son directeur telles que la définition de la politique et de la stratégie juridique du Groupe, le pilotage de l'élaboration de la réglementation interne du Groupe (IG, instructions techniques...), le pilotage de la Politique Avocats, le traitement des questions juridiques liées à la gouvernance du Groupe et aux affaires institutionnelles. Elle réalise également des activités liées à la régulation et des missions de Chief Transformer Officer (CTO). Elle est dotée d'un centre d'expertise juridique multi-compétences qui couvre l'ensemble des activités du Groupe et permet d'apporter un soutien et accompagnement en termes de conseil, contentieux et formation tout au long des projets ou contentieux afin d'en maîtriser les risques.
Ex. Département Etudes générales, Développement, Territoires (EDT) devenu Direction Influences, Territoires et International (ITI) le 01/01/2023 par Note Générale n°6204 de la Présidence précisant la nouvelle organisation mise en place au sein du Groupe RATP pour faire face aux nombreux défis à venir et se préparer à l'ouverture de la concurrence dans les transports publics en Ile-de-France.
C'est en 2010 que le gestionnaire d'infrastructures du Grand Paris (GIGP) est créé pour assurer la maintenance des futures infrastructures des lignes de métro du Grand paris Express (lignes 15,16,17 et 18). Les activités du GIGP s'exercent en toute transparence, indépendance, objectivité, dans le respect des règles de non-discrimination entre les opérateurs de transport afin de permettre à IDFM, l'autorité organisatrice des transports en Ile-de-France d'organiser une mise en concurrence non faussée et de permettre à la RATP de candidater en tant qu'opérateur de transport.